17 janvier 2025 : une journée dédiée à la biodiversité en Dracénie
- Donner une personnalité juridique aux rivières et mers.
- Organiser une représentation des espèces végétales et animales.
- Penser la manière d’habiter notre planète en interdépendance avec les autres vivants.
Ces thématiques seront explorées le 17 janvier prochain en Dracénie.
Colloque : La Nature saisissant le droit. Le vivant : vers un nouveau droit ?
Matinée (9 h – 13 h) – Faculté de droit de Draguignan.
Entrée libre dans la limite des places disponibles.
En partenariat avec l’Université de droit de Toulon, ce colloque questionnera la place du vivant dans notre système juridique :
- Faut-il accorder des droits nouveaux au monde vivant ?
- Quelles en seraient les conséquences ?
Juristes, philosophes et sociologues échangeront autour de ces enjeux tout au long de la matinée.
👉 Plus d’informations sur le colloque
Conférence : Rendre l’eau à la terre. Aménager en alliance avec le vivant
De 17 h à 18 h – Auditorium du Pôle Culturel de la Dracénie.
Entrée gratuite sur réservation obligatoire.
« Il s’agit de bâtir des alliances avec les non-humains, des pactes qui nous reconnectent aux écosystèmes et aux autres formes de vie, non pas dans une logique d’exploitation, mais dans une logique de réciprocité et de solidarité. »
Philosophe, Dracénois, Baptiste Morizot s’appuie sur son expérience de terrain pour inviter à de nouvelles diplomaties avec la nature vivante ou agissante. Il conclura cette journée en nous invitant à repenser notre rapport au vivant en termes de coopération.
Appel à candidature : Parlement du Vivant de la Dracénie
Repenser notre relation à la planète en donnant une voix aux non-humains : tel est le pari un peu fou du Parlement du Vivant de la Dracénie.
Ce Parlement vise à agir comme une force motrice, en considérant le territoire comme un écosystème où l’homme est une espèce parmi d’autres, et en faisant entendre la voix de ceux qui n’en ont pas.
L’appel à candidature, destiné aux jeunes de 16 à 25 ans, sera lancé le 17 janvier pour inscrire la biodiversité dans l’ADN de la Dracénie.
